Dans son journal de la semaine, publié hier par Libération, Marco Koskas note que parler politique est plus facile qu’écrire un livre : « Tout est plus facile qu’écrire, et rien n’est plus facile que commenter la vie politique. »
Il a raison... je commente, je commente et je n’écris pas. Pas assez. Alors pour la politique, à bientôt !
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