*subtile façon d'accrocher le lecteur au post-génocide(s) du Rwanda qui n'en fini(ssen)t pas d'interroger notre mauvaise conscience, "accroche" sans laquelle bien peu de lecteurs en vérité...
Je termine tout juste, partagé, la lecture de l'article sur les rêves noirs de la voyante, quatre pages consacrées à "Valentine Nyiramukiza (qui) avait eu la vision des prémices du génocide au Rwanda*" dans Le Mag Reportage, supplément fim de semana de Libération...
et plonge dans Un homme qui dort de Georges Perec et, dès la huitième page de l'édition folio, lis : "Deux heures sonnent au clocher de Saint-Roch. Tu relèves les yeux, tu t'arrêtes de lire, mais tu ne lisais déjà plus depuis longtemps.":..Quelqu'un peut-il m'expliquer ?
2 commentaires:
Tu confonds l'église Saint-Roch de Bruxelles (article Rwanda) et l'église Saint-Roch de Paris (Perec) ! Alors, évidemment...
oui, oui, bien sûr ...?
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